Charlie Romancier
Messages : 1339 Inscrit(e) le : 16/12/2009
| Sujet: Une aide pour nos petits texte Sam 2 Juin - 13:35 | |
| Bonjour à tous et à toutes ! Le but de ce topic serait de demander de l'aide au niveau de l'orthographe, de la synthaxe, au niveau des idées, ou encore de la compréhension du texte... Ou même tout simplement des avis. Bref un fourre tout de conseils sur nos petits textes ou petites nouvelles (pas une histoire complète ça serait bien compliqué sur un sujet ouvert à tous). Voilà je ne savais pas où mettre ça donc j'ai fait un nouveau sujet (ça part d'un requête personnelle, mais je me suis dit que ça pouvait peut être servir à d'autres personnes plus tard ?).Il suffit d'expliquer le sujet rapidement et de poster son texte sous SPOILER (oui il y a des topics sur ce genre de conseil un peu partout sur le forum mais rien sur une sorte de "correction") Ma demande :Je suis actuellement en train d'écrire un autre petit texte sur une ville contre-utopique. Rien à voir avec les sims vous me direz. Et c'est encore une travail pour mon cours de français. Et j'aurais besoin d'un peu d'aide. Pour l'orthographe mais aussi l'avis de gens pour savoir si il y a des incohérences dans le texte, des choses que l'on ne comprend vraiment pas, etc. A savoir avant de se lancer dans la lecture : le paragraphe 1 est le point de vue d'une femme, habitante de la ville. Le deuxième est celui du Leader (homme). Le troisième revient sur le point de vue de la femme. => Sur mon fichier il y a un changement de typographie qui permet de comprendre ces changements plus facilement. - Spoiler:
La journée commence, semblable à toutes les autres. En même temps que s’ouvrent peu à peu mes yeux, les écrans autour de moi s’éveillent. Je glisse lentement de mon lit à mon fauteuil pour suivre le chemin argenté jusqu’à mon bureau, je lance la musique puis change mes fonds d’écrans, j’en ai une douzaine. Puis je prends commande pour mon premier repas et envois quelques messages avant que mon déjeuner n’arrive dans une petite case verte. Je me déplace lentement jusqu’à ce que je suppose être l’entrée afin d’aller chercher mon repas. Toujours dans mon fauteuil, toujours en suivant ce circuit argenté tracé au sol. Je suis rassurée par cette routine, par ce rythme calculé de ma vie. Je pense aussi que j’aime le fait que cette linéarité qui régit ma vie se retrouve dans mon cube. Ce que nous appelons nos « cubes » ce sont nos maisons. Tous semblables d’après ce que j’ai pu voir à travers mes écrans. Des murs blancs, lisses et mats, un sol de même couleur laqué imprimé d’un circuit métallique, le mobilier est en acier et deux des murs sont en fait d’immenses écrans nous permettant d’y afficher l’ambiance qui nous convient. Dans un coin se trouve un autre cube abritant une salle de bain et une penderie dont l’une des glasses me permet de choisir mes habits directement sur mon reflet. Tout est pratique et familier ça me rassure. Avoir tous un même lieu de vie permet que nous soyons tous égaux. C’est ce qu’on nous a appris je me rappelle. C’est vrai, avant il n’y avait qu’un monde d’inégalités, certaine personne n’avait même pas leur propre ordinateur. Rien que d’y penser j’en ai des sueurs froides. Je ne pourrais pas vivre sans la technologie. Elle est partout, elle rythme les moments de ma journée, de ma vie. Du sol au plafond, dans les moindres recoins il y a de la technologie. Comment je ferais pour me déplacer ? Impossible. Je chasse ces pensées aussi rapidement qu’elles sont venues. Je suis fière d’habiter une société qui respecte les hommes, les protège, les rend égaux et libre d’agir comme nous le souhaitons. Quand j’y pense, c’est vrai qu’on nous avait aussi appris qu’avant il y avait de la propagande et la censure… Ici nous communiquons librement avec les autres personnes, la seule intrusion que la société fait dans notre vie n’est que bénéfique pour nous, c’est la protection De notre naissance à notre mort en passant par notre transfert nous sommes protégé par les murs de nos cubes. Enfermés pour notre propre sécurité. Je me rappelle du jour de mon transfert. A 8 ans j’allais partir de chez mes parents pour aller dans mon propre cube, mes parents étaient effrayés rien qu’a l’idée de ce qui allait se passer pour moi. Mais incapable d’en parler. Ils avaient raison, à chaque fois que j’y pense je suis effrayée. J’avais à peine fait quelques pas avant que le soleil ne m’attaque les yeux et me brûle la peau. Ce que je connaissais de l’extérieur était donc très limité. Je me rappel avoir vu des cubes argentés et plus loin, là où nous nous dirigions une dernière maison cuivrée qui finissait chaque ligne que formait les cubes et plus loin quelque chose de sale, de marron. Au centre, derrière nous j’avais rapidement aperçu un immense reflet doré qui sous le soleil renvoyait une lumière brillante sur les environs. Au sol il y avait des lignes colorées sur un fond blanc immaculé et brillant. J’avais perdu connaissance rapidement mais ma bonne mémoire m’a permis de me souvenir de tous ces détails. C’est déjà bien plus que n’importe qui. Je chasse ce cauchemar de mon esprit, avant de me lancer dans ma tâche quotidienne. Toujours sous mon siège je me dirige vers la petite plateforme dans un coin de mon appartement afin de descendre jusqu’à ma salle de travail. J’aurais finit dans une heure tout au plus, ce n’est pas si contraignant au final, j’ai juste à appuyer sur quelques boutons, et abaisser quelques leviers, envoyer les informations, les imprimer et les classer. J’ai le doigt sur le bouton de la plateforme afin de descendre lorsque tout s’éteint. Un gémissement sourd sortis du fin fond de ma gorge. Si le courant ne revient pas je vais paniquer.
La coupure de courant avait débuté il y a déjà quelques minutes pour la population. Cela faisait 2 jours déjà que j’avais vu la première anomalie apparaître. La ville avait été construite sur un plan simple de cercles concentriques amenant au centre à une immense tour, j’habite ici. Je suis le dirigeant. Au début le réseau d’alimentation, vert, s’était vidé peu à peu, jusqu'à une certaine mesure ça n’était pas inquiétant, pourtant ça avait continué pendant toute une matinée jusqu’à ce qu’il soit entièrement épuisé. Puis les crépitements des bases de données et de surveillances aux 4 coins de la ville s’étaient arrêter à 5 minutes d’intervalle chacun. Après ça avait été au tour du réseau bleu d’information de nous lâcher les petites lumières qui parcourait la ville le long de ce circuit s’étaient toutes éteintes les unes après les autres nous empêchant de communiquer ou même de consulter les quelconques informations circulant sur la toile. Ensuite le réseau d’énergie jaune s’y était mis. Et plus inquiétant, le réseau de sécurité rouge, celui qui permet d’enfermer la population, avait cessé de fonctionner lentement, comme un dernier coup de couteau dans ma poitrine douloureuse. Du haut de ma tour j’avais vu peu à peu les lumières régulières de la ville s’arrêter. Celles du cercle extérieur avec les holly house, puis était venu le tour du cercle suivant, maison par maison cercle par cercle la ville s’éteignait en même temps que mon règne, celui que nous nous léguions de génération en générations, depuis mon arrière grand-père jusqu’à aujourd’hui. Je voyais les panneaux solaire extérieur briller de mille feu, les plaques d’or les recouvrant chauffant avec le soleil de fin de matinée. Et pourtant je savais qu’ils étaient éteints. J’imaginais les ouvriers s’activer pour tenter de réparer l’électricité. De ma tour je voyais tous les environs, jusqu’à la mer à l’est, les montagne au nord, les forêts au sud et les champs à l’ouest. Des espaces naturels démesurés que j’étais le seul à voir pouvoir voir, avec ma famille et quelques privilégiés habitant plus bas dans la tour, les chercheurs, ingénieurs, scientifiques ou la petite armée que nous avions. Je n’avais jamais mis les pieds sur le sol de la ville. Je n’avais pas de raison d’y aller, c’était ennuyant, calculé. Un rythme précis et effrayant et en même temps un univers fade mais rassurant, pour qui ne connaît que l’intérieur d’un cube. Plus jeune j’avais longtemps observé les maisons, des cubes, des centaines de cubes s’alignant. Chaque cercle était composé de cubes de 6 mètres de largeur sur 6 de longueur sur 6 de hauteur, 4 au dessus du sol, 2 en dessous. Entre les maisons de chaque cercle il y avait un espace de 6 mètre. Le chiffre préféré de Mon arrière grand-père celui qui lui a porté bonheur d’après les histoire que l’on m’a raconté. Il était important de garder la population enfermée chez elle, la distraire afin qu’elle ne se rebelle pas. C’est pourquoi la seule et unique fois où les gens peuvent sortir à l’extérieur de leur cube, est le jour du transfert. Alors afin de les dissuader de toute rébellion et de toute envie d’aller à l’extérieur nous brulons leur peau. Une expérience si désagréable, si traumatisante que personne jusqu'à maintenant n’avait osé sortir de chez soi. Et pourtant maintenant que le réseau de sécurité s’était éteint ce n’étais qu’une question de temps avant que la faim ne les pousse à sortir de chez eux. Ou qu’ils découvrent la lumière naturelle pénétrant par les contours de leur porte d’entrée. Ils n’auront plus qu’à la pousser pour qu’elle s’abaisse. Et en un instant ils comprendront la supercherie. Je suis effrayé et en même temps soulagé. C’est la fin de mon règne et le début d’une nouvelle aventure. Mais je n’en ferais surement pas partie. Pourtant rien n’avait été mon idée, j’avais simplement obéi aux ordres de mon père, qui avait obéis à ceux de son propre père… J’ai été élevé dans le but de reprendre le flambeau, alors même si je ne comprenais pas j’obéissais. Désormais tout sera finit d’ici quelques jours, les habitants découvriront la liberté et les collines verdoyantes, un monde vaste. Et pourtant ils découvriront aussi la saleté, la difficulté de vivre, la méchanceté, les inégalités… Ce n’est plus mon problème. C’en est finit.
Si le courant ne revient pas je vais paniquer. Et si il ne revient vraiment pas je vais mourir… Qu’est-ce qu’il s’est passé ? Pourquoi tout s’est éteint, en plein milieu, avant même que je n’aille faire mes tâches ? Était-ce ma faute ? Lorsque j’avais appuyé sur le bouton tout s’était éteint. Ou était-ce avant que je n’appuie ? Je ne me souviens plus vraiment. Le temps passe. Lentement. Si lentement. Je n’ai rien à faire je ne sais pas quoi faire, mon fauteuil ne veut plus se déplacer. Et ça fait bien trop longtemps que je n’ai pas posé mes pieds par terre. Est-ce que je suis seule ? Est-ce que d’autre personne sont dans mon cas, enfermés dans nos boite ? Enfermés oui. Mon dieu, enfermés ! Je vais mourir, c’est sur. Nous allons tous mourir. Pourquoi personne ne nous vient en aide ? Combien de temps allons-nous devoir attendre avant que le courant ne soit rétablit ? Un message serait suffisant. Cela voudrait-il dire qu’il y a un sérieux problème, ou alors nous a-t-on abandonné ? Impossible, ils n’ont pas le droit, et puis ils nous ont toujours protégé. Pas vrai ? Plus j’attend plus mes pensés deviennent sombre, plus mon esprit imagine le pire. Je ne sais pas combien de temps je vais encore devoir endurer ça. Je peux peut être sortir. Mais le soleil me brulera. Et pourtant j’ai faim. Tellement faim. Il fait moins sombre on dirait, mes yeux se sont habitué à la pénombre. Ou peut être que le courant revient. Non, ça n’est pas ça. Dans l’entrée, j’arrive à percevoir les contours d’un rectangle légèrement lumineux. J’y vais. Je ne perds rien à essayer. Plutôt que mourir allons-y. Je tâtonne le sol avec mon pied, puis l’autre. Rien de dangereux je peux me lever, je suis forte et pas si grosse que ça. Un pas, deux pas… J’arrive à la porte, passe ma main sur le contour, c’est agréable et chaud. Tant pis si je meurs brûlée par le soleil, je dois sortir j’ai faim. J’appuie légèrement sur la porte pensant que le système d’ouverture est le même que les placards et portes de salle de bain. J’avais raison la porte coulisse. La lumière m’éblouie, on dirait qu’il fait chaud. J’ai peur mais je me sens aussi étrangement libre. C’est excitant on dirait une aventure comme dans les films ou les séries que je ne cesse de regarder ! Le sol brille, ce reflet doré que j’avais vu il y a des années lors de mon transfert est toujours là. Il provient d’une immense et large tour au centre de la ville. Brillant de mille feu, clinquant, ridiculeusement imposant. Maintenant que je peux regarder autour de moi je vois une répétition de centaine et centaine de cubes argentés, bien alignés. Moi qui trouvais tout cela rassurant, je trouve plutôt ça effrayant maintenant. Un peu comme si la ville n’était qu’un élevage de cerveaux, de personne qu’on avait enfermé dans des petites cases sans jamais pouvoir en sortir. On nous a menti. Tout ceci est la vérité tout ce qu’on nous a dit était un mensonge. Je me sens furieuse tout à coup.
PS : Mon rendu est pour lundi et je n'ai pas tout à fait finit d'écrire, (ni vraiment de corriger les fautes, je suis tellement mauvaise en orthographe.) D'après ma prof de français c'est compliqué parfois, j'ai essayé de réécrire toute la première partie qu'elle trouvait parfois très difficile à comprendre. J'espère que ça sera mieux pour vous. Si je ffinit aujourd'hui je vous rajouterais la suite) | |
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Emmatom Pigiste
Messages : 29 Inscrit(e) le : 31/05/2012 Histoire(s) écrite(s) : Aucune histoire Sims.
| Sujet: Re: Une aide pour nos petits texte Sam 2 Juin - 13:46 | |
| Je lis ça et je te dit ! =D J'adore le français donc je me ferai un plaisir de t'aider si tu le veux bien =) | |
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Charlie Romancier
Messages : 1339 Inscrit(e) le : 16/12/2009
| Sujet: Re: Une aide pour nos petits texte Sam 2 Juin - 13:49 | |
| C'est gentil ! Je veux bien, plus j'ai de conseils mieux c'est. Par contre la troisième partie est pas forcément très bonne. Je viens de la faire et très rapidement (je sais même pas si j'ai finit d'écrire ma dernière phrase haha !!! ) | |
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Emmatom Pigiste
Messages : 29 Inscrit(e) le : 31/05/2012 Histoire(s) écrite(s) : Aucune histoire Sims.
| Sujet: Re: Une aide pour nos petits texte Sam 2 Juin - 13:49 | |
| Pour l'instant j'aime vraiment beaucoup le début et tout est parfait ! =D | |
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Charlie Romancier
Messages : 1339 Inscrit(e) le : 16/12/2009
| Sujet: Re: Une aide pour nos petits texte Sam 2 Juin - 13:55 | |
| ha ? pas d'erreur d'orthographe ? on comprend tout ? ça m'étonnerais qu'il n'y ait aucune erreur, je suis une quiche en orthographe ! les filles (et quelques garçons) du forum en payent le prix chaque jour... Mais ton avis me va droit au coeur ! Merci beaucoup ! (mais c'est pas vraiment un début -.- c'est presque finit haha !) | |
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Emmatom Pigiste
Messages : 29 Inscrit(e) le : 31/05/2012 Histoire(s) écrite(s) : Aucune histoire Sims.
| Sujet: Re: Une aide pour nos petits texte Sam 2 Juin - 13:57 | |
| Oh il y a des fautes,minime hein; mais quand tu te reliras tu vas les remarquer normalement ! =) J'ai pas envie de dire de bêtises non plus donc je lis juste pour le plaisir et après j'épluche ! Tu as une très belle façon d'écrire alors pour ça aucun problème. Peut-être quelques virgule manquante à l'appel certaines fois mais rien de bien grave ! =) | |
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Emmatom Pigiste
Messages : 29 Inscrit(e) le : 31/05/2012 Histoire(s) écrite(s) : Aucune histoire Sims.
| Sujet: Re: Une aide pour nos petits texte Sam 2 Juin - 14:05 | |
| Bon alors j'ai aucun conseils à te donnés à part pour les virgules comme je te l'a dit ! =) Tu as une superbe façon d'écrire ! Je ne sais pas si tu as inventé ce monde dystopique toute seule mais,si oui, chapeau ! C'est vraiment très agréable à lire ! Je verrai ce qu'en dise les autres filles du forum parce que moi,c'est simple,j'aime le texte dans son intégralité ! Donc je ne pourrais pas t'être d'une grande d'aide désolé ! T__T | |
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Charlie Romancier
Messages : 1339 Inscrit(e) le : 16/12/2009
| Sujet: Re: Une aide pour nos petits texte Sam 2 Juin - 15:18 | |
| Merci beaucoup ! Oui, je l'ai inventé comme une grande. C'est un sujet pour mon cours de français, ça dois pas mal porter sur l'architecture de la ville. Autant voir plus que sur son fonctionnement (le must c'est quand on arrive à faire marcher les deux en même temps...).
Je vais donc attendre l'avis éventuel d'autre(s) personne(s) du forum ! | |
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